Antoine Assayas

Et si l’inspiration était la somme de ce qui est enfoui en soi et du mouvement que l’on s’impose? C’est à Hanoï, à 10.000 kilomètres de son Paris natal, qu’Antoine Assayas a commencé à imaginer ce voyage musical, il y a quatre ans. Enregistrer les sons du dehors, qu’ils soient naturels ou produits par l’homme, est alors vite devenu une obsession.Une manière aussi d’habiter ce nouveau monde. « J’ai commencé à porter une attention particulière aux sons qui m’entouraient, et progressivement, à les enregistrer », confie-t-il. Ensuite, est venue la pandémie et sa camisole physique. A défaut de pouvoir repartir, il a fallu raconter.

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Poppy Moukoukenoff

Depuis qu’elle est enfant, Moukoukenoff brûle.
La chaleur de sa voix déshabille les corps, exalte les désirs, invite à l’étourdissement.
De ses murmures autant que de ses envolées, éclatent des mots profonds, entre errance passionnée et violence douce.
Photographe et réalisatrice, Poppy Moukoukenoff met en image ses mélodies avec chaleur. En filmant les corps sous l’emprise de la danse, son univers, tant musical que visuel, est un appel à l’intime beauté et à l’introspection.

Grace à son esthétique prononcée et ses mélodies entêtantes, cette jeune femme d’origine Kalmouk s’est faite repérer lors de la sortie de son single « On s’abîme » puis par des reprises. Son premier EP propose une couleur plus chaude sur des morceaux dansants tout en gardant la poésie qui l’habite.

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