Capsul Intramuros
Une soirée du Capsul Collectif qui témoigne de la créativité de la bouillonnante scène tourangelle, entre musiques improvisées, Gamelan DIY et transe malgache !
Depuis une dizaine d’années Electric Vocuhila développe une musique singulière, puissante et volubile, inspirée de diverses musiques africaines contemporaines urbaines ou de cérémonies comme le tsapiky malgache, le sungura et les musiques tradi-modernes congolaises, alliées à une orchestration et un rapport à l’improvisation ancrées dans le (free) jazz, et à une recherche de saturation du son issue du rock.
Leur dernier album « Kiteky » est dédié aux musicien·ne·s de tsapiky rencontré·e·s lors d’une tournée à Madagascar avec les musicien.ne.s du groupe Behaja.
SONGLINES
« This latest album from the French four-piece Electric Vocuhila is inspired by the time spent with musicians in Toliara, home of the frenzied guitar-driven style known as tsapiky […] putting their twist on the music. » – Oct. 2022
POINTBREAK
« Electric Vocuhila est un groupe fascinant. […] L’art de l’obsession poussé à son meilleur, à son plus clair dessein. Creuser, creuser et fouiller sans jamais rien laisser paraître d’autre de l’effort que la joie vive » – Oct. 2022
TELERAMA – fff
« …le son de ce troisième album n’a même jamais été aussi proche de la fièvre des « bals poussière ». « Virtuose et crépitant […] quarante minutes de fête cardiaque. » – Mai 2020
JAZZNEWS
« C’est ainsi qu’ils rendent hommage à la musique malgache (mais aussi congolaise), la reconfigurant tout en gardant la quintessence. […] A partir de ce(s) style(s) initialement rituel(s), ils concoctent une formule des plus énergiques, qui devraient vous saisir de la tête au pied » – Déc. 2022
LES INROCKS
» Ces musiciens viennent du jazz, option free, et jouent de la musique africaine comme si c’était du rock. De la musique africaine d’aujourd’hui, avec une prédilection pour le tsapiky malgache [et le sébène congolais] : tourneries de guitare électrique et rythmes fous, pour une forme de musique de transe très proche du meilleur rock. « – Oct. 2017
Loin des palais, processions et cérémonies, Thibault Florent fantasme une musique du quotidien, ensorcelante et profane, un artisanat solitaire et non moins spirituel. On se frottera les yeux devant ce gars seul au timbre d’orchestre, occupé des pieds à la tête, tricotant la douze-cordes dans la longue résonance de gongs DIY. Ou bien on les fermera, les yeux, pour se laisser prendre par l’espace sonore d’une densité inégalée, oscillant entre sereines ondes et soudaines lames de fond.
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