LES FILS DE JOIE

RETOUR D’UN GROUPE CULTE DES ANNEES 80

Les Fils de Joie reviennent en 2023 avec « Nous ne dansons plus la nuit », un album événement, salué par la critique. « Résurrection » a titré Télérama, accordant « TTT » à cet album rédempteur (Francois Gorin, Avril 2023).

Un webzine rock (Casbah Webzine) écrivait récemment « Les Fils de Joie pourraient aisément prétendre au titre de plus grand groupe culte et maudit de l’hexagone … » (Mars 2023). Ce groupe Toulousain, qui avait gravé « Adieu Paris » (1982), « L’hymne souterrain d’une new wave française encore mal définie » (Telerama, Avril 2023), était devenu la coqueluche des jeunes radios libres et avait enchaîné les concerts à travers l’hexagone. La signature avec un gros label (Philips-Phonogram) aurait dû les projeter dans une autre dimension … Frustrés par la major, lassés à force d’incompréhensions, ils avaient jeté l’éponge en 1986, sans même de prendre le temps de sortir leur album prévu cette année là.

Le label indépendant Pop Sisters Records est allé puiser dans les nombreux d’enregistrements du groupe (majoritairement auto-produits entre 1982 et 1986) pour sortir enfin cet album qui sonne étonnement moderne et rappellera à quel point la scène Française du début des 80s à tracé le sillon pour les générations futures. « Ce superbe Nous ne dansons plus la nuit » (Gérard Bar-David, Gonzo Music) est truffés de morceaux qui « ont gardé une fraîcheur enviable » (Télérama).

Il s’agit bien de la rédemption de l’un des rares groupes de rock capable d’écrire en Français « des chansons ciselées comme des poèmes » (Centre Presse Mars 2023), « touchées d’une grâce poétique », « sans oublier l’humour noir et le second degré » (Vintage Music Club, Mars 2023). « Un groupe énorme » qui avaient et a tout pour briller, notamment un leader « auteur/compositeur au talent immense », des « mélodies qui touchent », de l’énergie à revendre et la passion pour la scène (Buzz on Web, Février 2023).

Ils n’en fallait pas plus pour leur redonner l’envie de remonter sur scène en trio comme au début, sans concession et « c’est juste grisant de retrouver ces jeunes gens modernes » (Gonzo Music, Février 2023).

LE MASSEY FERGUSON MEMORIAL

Depuis 1999, l’année de ses débuts dans les bars PMU bellevillois, le Massey Ferguson Memorial a converti plus d’un punk, plus d’un skinhead, plus d’un hardcoreux, bref, plus d’un mélomane à sa country made in Paris XXe. Sa force : des compositions entêtantes et servies par une bande de rockers qui vont franchement au turbin, sans pour autant arborer salopettes, barbes descendant jusqu’aux genoux et tee-shirts de Motörhead.

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