DAVY KILEMBÉ

Davy Kilembé artiste indépendant, est reconnu par beaucoup pour son talent. Il saisit l’air du temps et s’en inspire pour mettre en musique son univers. Cet artiste a atteint un niveau de maturité lui permettant de s’exprimer au plus juste. Il fait parti de cette nouvelle génération de cuisiniers qui n’hésitent pas à marier les saveurs autour d’un ingrédient noble : l’honnêteté . Loin des sentiers rebattus, une écoute attentive donne à réfléchir, autant qu’à se laisser porter par ses rythmes aux influences « soul ». Il ne se cache derrière rien, ni personne, cet homme chaleureux et talentueux. Il mérite d’être mis en lumière. D’une très grande générosité sur scène, d’une vraie simplicité, Davy Kilembé appelle le respect.

LA PETITE HISTOIRE…
Après plusieurs expériences en groupe Davy KILEMBE démarre son projet chansons en 2000 sous la forme d’un trio. Ils enregistrent leurs premières maquettes «maison» sous le nom «KILEMBE». Puis, le programmateur du Perpignan Jazz Festival «commande» en 2003 un spectacle solo qui se voulait « one shot » : il tourne dix ans avec. La souplesse du solo, et le fait d’avoir monté son home studio, ont permis à Davy de sortir quatre albums auto-produits, de participer à de nombreux Festivals (Nuits de Champagne, Musicales de Bastia, Festiv’ART, Haillan Chanté, Déferlantes d’Argelès, Jazzebre, Francofolies de La Rochelle, Semaine de la Chanson Française de Bamako, Mars en Chanson, Africajarc, Rallye Chantons Français…), de faire de «belles» premières parties (Francis Cabrel, Tété, Arthur H, Cali, Sanseverino, Tryo, Depalmas, Mathieu Boogaerts, Anis, Yannick Noah…) et d’obtenir de nombreux prix (Prix du Centre de la chanson, Talent France Bleu, Prix Charles Trenet, Prix du Public de Trois Baudets «Vive la reprise»…)

Dans son parcours artistique le fait de jouer seul a été essentiel. Les rencontres faites sur la route ont été enrichissantes et il a pu lier avec le public une relation de grande proximité. Puis, musicalement il a eu besoin d’aller plus loin que le solo : ajouter du partage et de l’énergie aux textes qui restent essentiels. La «rencontre musicale» avec le batteure Eric FLANDRIN a été fondatrice. Ils ont posé les bases en quelques concerts en duo de Mars à Juillet 2012 (Festival de la Chanson de Café, Ida I Vuelta, El Médiator, Valras..). Puis Guillaume BOUTHIE (Contrebasse) les a rejoints.

La sortie du prochain album est programmée en septembre 2016 avec un E.P en avant goût en février 2016.

GUILLO

” Guillo impose le choix d’une pop légère et francophone aux textes délicats, il impressionne par ce sentiment de facilité qui ne peut résulter que d’une grande exigence ” Rock&Folk

” Oublier un instant la fureur du monde moderne. Guillo nous offre une respiration. Un disque tout en douceur, presque chuchoté ” Francofans

“…Super 8 a été une grande découverte, lente et puissante…Tous les titres sont excellents. De la chanson simple, d’artisan, de caractère, de vérité.” Lamusiquedansmatete.blog.NouvelObs

” Les émotions passent sans coup férir mais avec une conviction violente. Le tout forme un album en or. Le coup de coeur du mois!” Maxoe.com

“Guillo a du tempérament et des chansons originales. Sa voix est affirmée et ses textes très bien écrits. “ (Francis Cabrel) RTL

Guillo, ce contraste entre un physique de Super-Welter et l’infinie douceur de sa voix, son regard, tout son être, en fait. Le banlieusard né à Sarcelles, devenu landais d’adoption, doubé par Francis Cabrel, observe et restitue : le principe de l’artiste. La voix aérienne se pose sur un violoncelle éthéré, murmure des chiasmes subtils, joue de ce suspens dans la syllabe, une vraie et belle marque de fabrique. Dans «Soulage» (Cinq secondes-IB-Idol) réalisé par David Mignonneau (Pow woW, Lunes, Fergessen), avec la participation aux arrangements de Benoit Crabos (Le trottoir d’en face) Guillo interroge le monde, sa folie consumériste, la contrecarre par la douceur de son jeu de guitare ou la tourne en dérision. Il sait aussi qu’on ne se baigne jamais deux fois dans le même fleuve, qu’il faut partir pour que l’autre apprécie qu’on revienne et vante donc un mode de vie iconoclaste mais apaisé, soulagé, celui des joies du retour.

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