ARBAS

Arbas a de cette douce sauvagerie qui jaillit en éclats musicaux aux travers des feuilles de sa forêt. Chez elle, la Femme est si grande que la pluie la touche en premier (« Cheyenne ») et le coeur de la Terre un incendie permanent, bouillon écarlate sous nos pieds (« Magma »).

Sa poésie lui a été soufflée dans l’oreille par Nougaro, ses tours et jeux de voix par Camille et la ferveur qui l’anime sur scène par Patti Smith.Seule avec son ukulélé et son looper, ou accompagnée par Matthieu Mancini au clavier et à la basse et de Chris Astudillo à la batterie et aux percussions, elle sème sur son passage des chansons teintées de jazz et d’exotisme, de fièvre et de malice.

Arbas chante les arbres, la terre et les océans, la Femme, l’ivresse et l’amour. Elle chante et sa chanson est sauvage…

ROSIE MARIE

A l’image de son nom de scène, la musique de Rosie Marie raconte une histoire de dualité, entre pétillance festive et clairvoyance acide. Dans ses textes, Rosie Marie matérialise ses obsessions les plus intimes : l’inexorable course contre le temps, l’usure de l’amour et les préjugés de notre époque… Des sujets forts posés sur des musiques à la fois mélodiques et entrainantes. C’est bien ancrée dans son époque que Rosie Marie s’inscrit ainsi dans la grande famille de la pop à la française.

Écrire, composer et chanter est une façon naturelle de raconter des histoires, elle aime que son auditoire s’y identifie et s’en empare. Sur scène, en solo ou désormais accompagnée de Matthieu Lesénechal (ex-3 Minutes sur mer), elle nous fait découvrir ses nouveaux titres de pop-électrisante.

FRANCOEUR

Francoeur est une créature pas tout à fait humaine vivant dangereusement accrochée à ses rêves. Une jolie mélancolie pénétrante, intense et légère comme une plume, visant les entrailles droit jusqu’au cœur. FRANCŒUR est un chasseur d’émotions. Un funambule oscillant sur les cordes d’une harpe.

Une chanson pop française lumineuse – harpistique – qui nous invite à tutoyer les étoiles, à s’approcher au plus près des portes de notre imaginaire. Mais ne vous fiez pas aux apparences…

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