MAX CAZ

Depuis qu’il a empoigné une guitare à l’âge de 12 ans, les mélodies rêveuses n’ont jamais cessé de trotter dans la tête de Max Caz. Désormais en solo, il compose une pop planante et élégante, teintée d’un onirisme qui convoque les mythes et fantômes de son enfance.

Architecte le jour et formé à l’ENSA Paris-Malaquais, Max aime également composer des lignes harmonieuses dans sa musique : tantôt romantiques et aériennes, s’inspirant de la pop de Beach House et de Kevin Morby, tantôt épiques et fragiles, à la manière d’un Thom Yorke ou d’un Tim Buckley.

DEGERMANN

Comédien passé pour le Cours Florent, ancien col blanc repenti, grand doux d’un mètre quatre-vingt-quinze élevé sur le bitume parisien, Degermann a des chansons qui lui trottent dans la tête et le cœur.

Des chansons à l’esprit cinématographique, puisées dans la mélancolie et la frénésie de la vie urbaine et des étés trop courts, où l’amour et la solitude tissent des destins fragiles.

Musicalement, il prend racine dans le son des grands totems américains de la folk et du rock, de Wilco à Eels, en passant par Father John Misty ou Girls pour les plus récents. Il y greffe la fragilité et l’élégance d’une sensibilité bien française.

« Les Idées mortes », son premier EP, est sorti en juin 2021.

RIVKA

C’est le contraste qui intéresse Rivka ; entre force et vulnérabilité, profondeur et légèreté. “Je veux ton regard posé sur moi en permanence” : elle semble chercher le point de tension, pour mieux le dénouer.

Au fil de ses chansons, elle raconte, ou se raconte ? Chacune d’entre elles est un instantané vécu ou imaginé. Avec sa voix aérienne et son penchant pour la mélancolie, elle tisse une pop française empreinte de sonorités 80s qui donne autant de baume au cœur que de vague à l’âme.

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