BEL-AIR

Nostalgique de l’âge d’or de la chanson française ? Ou plutôt à l’affût des dernières pépites de la scène indie ? Et pourquoi pas les deux ? Prendre le meilleur des deux mondes, telle est l’ambition de BEL-AIR.

C’est une histoire classique : quatre garçons devenus amis sur les bancs de l’école, qui découvrent la musique et apprennent à jouer ensemble. Ils grandissent guitare à la main, sous l’influence bienveillante de la pop rock anglo-saxonne. Petit à petit, leurs compositions prennent de l’ampleur et le groupe se fait repérer… S’ensuivent une première signature sous le nom de Meltones, un album et une tournée française de plus de 50 dates. Trois années riches en musique, dont ils tirent une grande expérience et un goût certain pour la route.

A la sortie de leurs études, les quatre acolytes reprennent donc logiquement les armes. Et c’est au détour d’une composition en français – donnant à leur musique une nouvelle dimension – que le déclic se fait. Changement de style, de langue, et de nom : Le groupe se renomme BEL-AIR et écrit maintenant sa pop dans la langue de Molière.

Peu à peu, les plumes des deux auteurs, Thomas Valencelle et Pierre Duval, s’affinent. S’ils ont toujours été fins mélodistes, leurs morceaux s’animent désormais de textes en français, chantants et adroits, qui rendent hommage à la poésie, l’exigence et l’humour d’un Souchon ou d’un Trénet. Des univers qu’ils renouvellent pourtant, en les mariant à leurs influences de toujours : l’énergie et l’inventivité rock anglo-saxonnes.

Vous connaissez par cœur les paroles du Chanteur ou de La Ballade de Jim autant que les refrains entêtants de Metronomy ou d’Arcade Fire ? Alors la musique de BEL-AIR est faite pour vous.

 

 

Draumr

Signifiant « rêve » en ancien norrois, Draumr est le projet solo du musicien parisien Gabriel Cheurfa. Avec un univers visuel unique et une musique mêlant dream pop éthérée et glo-fi édulcorée rappelant certaines ambiances à la croisée entre « Air », « Washed Out » et « Paul McCartney », l’artiste se fait la voix des êtres dont la sensibilité n’a pas d’affinités avec l’addiction au sensationnel et qui souvent s’éteignent en silence sous les coups tranchés du réel, ces rêveurs qui semblent aujourd’hui toujours plus rares.

 

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