Sweet & Sharp

Sweet & Sharp : un duo de Blues doux et tranchant Il est né de la rencontre de Sébastien Kunz et Marie Leśnik.
Depuis 2017, le violon de Marie a rejoint la guitare de Sébastien pour explorer un blues aux influences rock, lyrique et folk.
Les compositions de Sébastien Kunz changent de sonorités sous les arrangements de la violoniste Marie Leśnik pour créer ce rendu à la fois doux et tranchant qui a donné le nom du duo “Sweet & Sharp”. A eux deux, ils vous emmènent ainsi de la douceur au grinçant, de la pudeur au mordant…

Galim

On dit que GaliM est une artiste à cœur ouvert. Sur scène elle ne s’économise pas, elle incarne ses chansons avec une voix qu’elle pousse parfois jusqu’à la fêlure.
« Il paraît qu’il faut prendre tout ce qu’on peut » alors, de manière instinctive et authentique, elle donne tout : sa tendresse, sa sensibilité à « fleur de nerfs », ses incompréhensions, sa rage, son énergie qui regonfle, ses sourires qui « réchauffent le cœur », sa poésie.

GaliM est dans ses chansons comme dans la vie : une funambule, toujours sur le fil. Alors après nous avoir trimbalés dans les émotions, on retiendra d’elle des messages d’espoir et des mots, ceux qui font échos à nos propres histoires, ceux qui griffent mais que l’on garde précieusement comme une prise de conscience.

GaliM sait nous toucher là où on est le plus vrai : dans la chair, titre de son premier album sorti en 2016. Un nouvel opus est en cours d’enregistrement. Pour cette nouvelle soirée « J’ai rendez-vous avec », GaliM se présentera pour la première fois en trio ! Elle sera accompagnée de Jean-Baptiste Kalifa (guitariste/choriste) et de Loïc Audureau (accordéoniste/bassiste/choriste).
« On est vite saisi par cette voix tendue, intense, vibrante d’émotions qui vous transporte dans un univers bourré d’authenticité. (…) Une volonté de rester entière, une grande force dans l’interprétation, Galim est de ces artistes qui chantent et s’expriment de manière quasi instinctive, avec leurs tripes… Frissons garantis ! » (FrancoFans par Sandrine Palinckx)

GaliM fait notamment la première partie de Melissmell et des Hurlements d’Léo. On la retrouve également en co-plateau avec Flow, Govrache, Frédéric Bobin, Fantine Leprest… ainsi que dans le collectif « la Marmaille de Mano Solo ».

John Alvarez

Guitariste/compositeur dans le style flamenco/classique avec une petite touche rock, il s’inspire de beaucoup de musiques de films pour en faire ses propres compositions. Il fait également partit du groupe Red Butterfly.

Cat Loris

Cat Loris est une chanteuse auteure compositrice à la voix touchante et singulière. Elle explore depuis l’enfance la musique, l’écriture et les arts plastiques.
Son premier album, « Hypersensible », sort en mars 2019 en version numérique, une sortie physique est prévue dans la foulée. Pour la réalisation de cet album, Cat Loris a choisi de travailler avec Chadi Chouman (Debout sur le Zinc).
Capable de passer de la douceur à l’insolence, Cat Loris se confie, se console, s’amuse, parle d’amour, de liberté, de solitude, d’ambivalence… Elle mélange les émotions au grès de ses chansons.
A la Dame de Canton, accompagnée par la guitare et les chœurs de Paul Galiana, elle vous embarquera dans son univers multicolore, qui s’inscrit dans la Nouvelle Scène Chanson Française. On peut entrevoir à travers ses mots et ses mélodies les influences de Renaud, Brassens, Clarika, mais également celles du blues et des musiques du monde.

Samuel Cajal

C’est un premier album solo « une issue » : Conçu avec ses comparses Johan Guidou et Matthieu Lesenechal dans la même veine minimaliste et incandescente que son héros Troy Von Balthazar, son premier album “Une issue” va droit au but et droit au beau, plein de colère retenue (l’implacable introduction “Coeur Noir”, avec Wilfried Hildebrandt), de rage gracieuse, de clairs et d’obscurs, d’arrangements à la discrète amplitude, de mélodies lumineuses (“Langoureusement”), rappelant Bertrand Cantat, Low, Pascal Bouaziz, Flotation Toy Warning, Dominique A. La politique générale et les renoncements personnels (la douce et amère “Indigné”, avec Nellyla), l’amour et la haine, les batailles universelles du quotidien ou le deuil d’un père (la crépusculaire “Décibels”, avec Karina K!), les mots du garçon marquent l’âme d’un bel acide. Au-delà de cette Issue naît ainsi un chemin : celui qu’emprunte, poétique et rageur, un auteur qui s’affirme.

Lucas Rocher

Tantôt VRP pour marabout, gérant de café-théâtre névrotique, concepteur de jeux vidéos pour les enfants du Tiers Monde… les personnages qui peuplent les chansons de Lucas Rocher sont autant de miniatures d’une société qui, en cherchant à masquer ses failles, révèle aussi toute son humanité. Une incitation souriante et poétique à lâcher prise sans pour autant se laisser bercer.
Entre caresse et coup de pied au cul.

Un guitare/voix tout en finesse, porté par la folie et l’inventivité d’Axel Dachet (violon) et Damien Tartamella (harmonica), pîtres et choristes (en CDI). Un Trio qui mute volontiers en Quintet lorsque les ouvriers du gros-oeuvre (Gilles Sonnois à la basse, Xavier Hamon à la batterie) se joignent à eux pour réveiller les fans de Barbara et les non francophones, lorsque le contexte le permet (stades, bar mitzvah, goûters…).

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