Sèbe

Sèbe est un chanteur monoglotte dont la poésie flirte parfois avec le punk. Il est considéré par ses pairs comme le nouveau «diamant brut» de la scène francophone, tant par sa beauté, ses qualités humaines indéniables, et son talent prodigieux (à la limite du concevable) qui le situent au point de rencontre entre l’impossible et l’inouï. L’écriture de Sèbe est ciselée comme du bon persil.

On y aborde les thèmes (jusqu’alors inexplorés) de la rupture amoureuse, de l’engagement politique, du paraître et de la violence au sein de nos sociétés normatives. Un spectacle « tendre comme la caresse d’un rayon de soleil » et « frais comme une douce brise d’été » diront certains…

Avec son âme en bandoulière, épaulé par ses deux fidèles compères : brio et entrain, Sèbe, est la véritable figure de proue de la “Villeurbanne Touch”, mouvement alliant précarité et absence de beat electro.

Il illumine depuis quelques mois la périphérie lyonnaise de sa célèbre “noirceur festive”. Bête de scène incontestable, Sèbe est un gagneur. Sa “win” est évidente, naturelle et sans chichi. Il commence la guitare au stade fœtal. Plutôt à l’aise, il améliore instantanément un à un, les riffs de Jimmy Hendrix et de Kurt Cobain, les détrônant dans la foulée, et faisant d’eux des artistes de seconde zone.

Sèbe a su faire preuve d’humilité ces derniers temps en acceptant les premières parties d’artistes émergents tels que Sanseverino (SMAC les Abattoirs), Oldelaf (Radiant Bellevue), La Rue Ketanou, Barcella ( Festival “Changez d’Air”) et en foulant la scène du Festival Les Chants de Mars.

Sèbe terminera, en mai dernier, finaliste du Pic dOr 2019 avec deux récompenses (Coup de cœur du magazine Francofans, et le prix du Big Bag Festival). En parallèle, il a irradié la tournée du Mégaphone Tour 2019 et sera mis en lumière cette saison par le TrainThéâtre lors de la soirée Talents SACEM /Chantier des Francofolies.

Bon nombre de professionnels pensent déjà qu’il va « tuer le game ».

La Green Box

« Il est l’un des trois piliers de la festive Rue Ketanou, mais, sans ses compères, il est plus calme et plus littéraire. Accompagné cette fois de Benoît Laur, aux percussions et à la programmation entre autres, et d’Arnaud Viala à la réalisation sonore, Florent Vintrigner nous livre à la guitare ou au banjo quelques-uns des plus beaux poèmes de Victor Hugo, entre chanson et conte aux couleurs de folk-blues. Et c’est très beau. » TELERAMA SORTIR

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