WATINE
En 2012, parenthèse au milieu de son propre travail de composition et d’écriture, Watine choisit de donner ses voix sur un album consacré à l’immense poétesse Emily Dickinson. Ce projet lui est présenté par le musicien folk multi-instrumentiste Paul Levis et s’appelle THIS QUIET DUST.
En 2013, Watine amorce un virage personnel et tente l’aventure de l’écriture en français. JD Beauvallet des INROCKS, qui qualifiait son univers d’outre-pop, lui souffle le nom du projet ATALAYE « le guetteur » en basque, celui qui voit loin, avant les autres. Watine invite son piano épique à travers ces harmonies mineures et majeures qu’elle affectionne particulièrement. Elle appelle ses fidèles fantômes, Satie et Fauré sur ses touches d’ivoire.
Quelque part entre le spleen lumineux de Barbara et le soleil noir mélancolique de Nerval, les Appalaches balaie l’Amérique et ses grands espaces avec la grâce majestueuse, magique et magistrale de Catherine WATINE