RED ROWEN AND THE MADCHESTER BIO

Avec passion et le fruit de plusieurs années de combats artistiques, RED ROWEN &The MADCHESTER est plus rock, plus noisy, avec toujours cette recherche parfaite de la mélodie, celle que l’on siffle après les concerts. De la pop music dans un écrin « noisy » à faire frémir les plus grandes heures des années 90. Rien que ça!

Red Rowen &The Madchester est la suite du groupe LITHIUM (+ de 300 concerts), dans la même veine avec encore plus d’expériences. Nous sommes 4 musiciens de la région briochine aux influences allant de Noir Désir, la plus évidente, à Nirvana en passant par Oasis, Pixies, Smaching Pumpkins, The Jesus And Mary Chain, The House Of Love, Black Keys, Black Rebel Motorcycle Club avec un petit “je ne sais quoi” de New Order (Joy Division)…

Le line up:

Red Rowen: (ex LITHIUM) Chant, guitares acoustique et électrique, tambourine, maracas et choeurs
Manu Castillo: (Tio Manuel), (ex wunderbach) Guitares acoustique, électrique et mandoline, harmonica et choeurs
Marc Lancieaux: (ex KIEV) Basse
Jérôme Ollitrault: (ex LITHIUM) Batterie, percussions et choeurs
Après avoir écumé de nombreux bars, pubs, Clubs et les scènes de la région, RED ROWEN &THE MADCHESTER remercie tous ceux et celles qui nous ont fait confiance en nous laissant nous produire chez eux, soit en acoustique, soit en électrique.

 

SERDAR Gündüz :

Le groupe : Cécile (ex Tio Manuel) au violon et chant, et Didier et Clément (section rythmique des irrévérencieux Olivensteins) à la basse et aux drums, ils usinent des mélodies originales sur des chansons qui évoquent des routes imaginaires en Alabama, se remémorent les blessures de l’enfance, avant de trouver la déesse de l’amour suprême dans les marais des Hauts-de-France…

Erudit de kilomètres de sons, d’influences multiples, Fabrika développe une musique qui explore les possibilités illimitées du rock’n’roll. Mélangeant la new wave fin 70s (Television, Devo, The Buzzcocks) à des sonorités western (Ennio Morricone), en passant par des mélodies pop (ils n’oublient pas les classiques comme le Velvet Underground et T. Rex…), le tout agrémenté d’une sauce derviche-tourneurs.

Ils adorent les films italiens des années 60, marqués par la poésie de Pasolini, Fellini ou Leone. Une cover de «I feel love» de Donna Summer propose une superposition audacieuse des genres, en évoquant des désirs troubles… Avec «La chaleur du radiateur», ils composent le tube du réchauffement climatique !

lls préparent un album (sortie en avril-mai) et jouent partout pour diffuser leurs expérimentations.

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